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Autour de Humide Humus (le livre et l'exposition) à lire ici
 
 

Article à lire ici 
 
 
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 OMNI, par Artshebdomédias
  

 
 
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De l’agitation contemporaine des images à la lenteur habituellement contenue du trait, en passant par l’essentiel tempo de la musique, le rythme est un élément fondamental de toute création. Le vidéaste-plasticien Jean-Claude Mocik, la dessinatrice Laura Nillni et le compositeur Ricardo Nillni, qui travaillent régulièrement ensemble, échangent sur la notion de rythme entendue comme la voix de l’image.
Pour le lancement d’OMNI – Objet Média Non Identifié – ArtsHebdoMédias a convié quelque 35 personnalités du monde de l'art, dont 28 artistes, à des discussions live autour de l’œuvre et du processus artistique. Animée par Marie-Laure Desjardins, fondatrice d’ArtsHebdoMédias, ces conversations ont mené à des rencontres, des débats, et une circulation libre de la parole des artistes. Retransmises sur Facebook via zoom, ces dernières ont accompagné quatre jours d'exposition au 24Beaubourg, à Paris. 




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Laura & ricardo nillni

Entretien par Pauline Lisowski, Revue PointContemporain








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Laura & ricardo nillni ou la vibration au coeur

par Marie-Laure Desjardins






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Le temps en transparence par Laura NILLNI

par Marie-Laure Desjardins



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LAURA & RICARDO NILLNI, 

JE NE SAIS COMBIEN D’ÉTOILES 

Par Pauline Lisowski

(Dans point contemporain)


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Laura Nillni développe un travail artistique, en sculpture, dessin et installation de différents médiums, qui se nourrit de lecture et de musique. Je ne sais combien d’étoiles, titre poétique, invite déjà à la rêverie. Il tire son origine de la nouvelle « Funes ou la mémoire » de Jorge Luis Borges. Hommage à cet auteur, cette vidéo témoigne du processus de réminiscence des souvenirs, des images et des lectures d’ouvrages qu’on garde en mémoire. Elle a d’ailleurs donné suite à des séries de dessins sur calque qui présentent un jeu de superpositions de textes et de formes géométriques. 
A partir de la musique composée par Ricardo Nillni, l’artiste a déployé un ensemble d’images, un végétal, des écrits, fragments de la nouvelle de Borges, tels des signes graphiques et des constellations. Elle les met en relation, les combine par des effets d’entrelacements, plus ou moins rapides selon la cadence sonore. Que reste-t-il après la vision des images et la lecture d’un ouvrage ? Ces procédés suggèrent également le temps de la lecture et le feuilletage d’un livre. 
Les nuages, symboles du changement, inspirent Laura Nillni divers jeux de passages, ainsi qu’un va-et-vient entre opacité et transparence, où la lumière rentre progressivement pour laisser place à l’obscurité. Puis apparaît l’image d’une feuille, vue de près, recadrée. Des lignes, des structures, des bandes noires peuplées d’étoiles la recouvrent progressivement. 
En défilant, les lettres, signes graphiques, se confondent avec ces éléments. La feuille photographiée, est surface de projection, de reflets, ainsi que support à des trames verticales. Un équilibre s’opère entre l’organique et le géométrique. Puis du végétal s’ouvre une dimension spatiale. Ces mouvements et ces circulations d’images représentent les liens entre les mondes, de la terre au ciel. 
Apparition, disparition de la nature, des mots, ce phénomène fait écho au processus de la rêverie. La typographie relève ici d’une fluidité, d’une fusion, d’un mélange… Elle évoque des gouttes d’eau tandis qu’à d’autres moments, ce sont des étoiles qui se manifestent. Les différents rythmes sonores, lents et frénétiques interagissent avec le déroulement des images. Ce qui nous amène à saisir, à enregistrer visuellement, les éléments éphémères de la nature et les images mentales qui surviennent dans notre esprit. 
Cette vidéo propose un aller-retour visuel du micro au macrocosme, du végétal au paysage, de l’élément que l’on peut toucher à l’univers, au monde céleste inatteignable, qui nous fait rêver. Ainsi, cette oeuvre propose différents moments de perception, invitant à prendre le temps d’observer, de l’attention à un élément naturel, à la lecture et à la contemplation du paysage, de nuit comme de jour.
Texte Pauline Lisowski © 2018
Musique de Ricardo Nillni : Tébah (2015), trio pour flûte, alto et trompette, enregistré en juillet 2018 par Jean-Luc Menet (flûte), Claire Merlet (alto) et Noé Nillni (trompette), prise de son, montage audio, Christophe Mazzella.
Édition limitée 100 exemplaires


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RFI, le 29 mars 2018




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France Musique, le 14 juin 2017:

Arnaud Merlin reçoit Jean-Yves Bosseur, commissaire de l'exposition "Musique à Voir", au LAAC, Musées de Dunkerque, du 29 avril au 17 septembre 2017.



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ARTPULSE MAGAZINE, by Raissa Clavijo
À propos de l'exposition "No sé cuantas estrellas", Lelia Mordoch Gallery, Miami 
septembre/ octobre 2016



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Laura et Ricardo NILLNI, Hommage à Jorge Luis Borges à Paris
EL INVITADO DE RFI, par Jordi Batallé





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À propos de l'exposition NILLNI (au carré) à la Galerie Victor Sfez
Dans La Gazette de Drouot
15 janvier 2016
par Lydia Harambourg


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LAURA NILLNI "COLOR EN MOVIMIENTO"
EL INVITADO DE RFI (par Jordi Batallé)
30 mai 2014

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 22 mai 2014
(news art today TV)





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VERNISSAGE "LA DANSE DU CAMÉLÉON"
 22 mai 2014
Dans AGRPRESS




Interview par Cristina Biordi




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EXPOSITION "LA DANSE DU CAMÉLÉON" à la Galerie Lélia Mordoch
En couverture:
"La fuite du caméléon" (détail)
Laura NILLNI
2012


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L'EXPRESS (SPÉCIAL PLATEAU DE SACLAY)



L'Express
30 avril 2014



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Dans ARTPULSE Magazine, à propos de l'exposition "Travelling in Space" (Robert Blanc, Emmanuel Fillot, Yukio Inamura, Laura and Ricardo Nillni, Keith Long, Joe Neill and Daniel Fiorda - September 8 - October 6, 2012-) Lélia Mordoch Gallery - Miami

"In their videos, Laura and Ricardo Nillni address space and time in a very interesting way. In Elogio de la sombra, the narrator reads Borges’ homonymous poem as a series of images appear, evoking the past. The present time does not exist; the present is our memory of yesteryear, an eternal past, breaking off in images that flow through our minds like the gullies of a river.
Sistina also revolves around the idea that time and space only exist in memory. Memories dissipate into fleeting images. At times they are superimposed and succeed in creating a discernible scene, but is it real or merely a figment of one’s imagination? In Là ou je ne suis plus, space seems to strangely escape from the scene. The camera is situated at ground level, thereby adopting an egocentric position, while the wilderness appears to revolve around it in a never-ending voyage to nowhere."




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Area revue)s
Été 2005, "Vénus, aspects des luttes et créations féminines"





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